Globocam inaugure sa nouvelle concession de Cornwall
Globocam, le réseau de concessionnaires de camions Freightliner et Western Star, a inauguré vendredi dernier sa dixième succursale, et sa première à l’extérieur du Québec.
La succursale de Cornwall, tout juste à la frontière de l’Ontario, offre les services complets de vente de camions, de vente de pièces et d’entretien pour les deux marques de la bannière Daimler.

Cette acquisition s’inscrit dans la stratégie de développement de Globocam sur le corridor du Saint-Laurent. « Nous voulons avoir le plus de points de service possible sur la route de nos clients », a indiqué Maxime Boyer, président de Globocam, à transportroutier.ca. « La plupart d’entre eux font des acquisitions, grandissent et font du transport vers l’Ontario, vers l’Ouest canadien et vers les États-Unis. Nous voulons que le réseau Globocam soit sur leur chemin quand ils en ont besoin et qu’ils bénéficient de la même expérience client partout.»
Ce développement, Maxime Boyer le veut graduel. « Le but n’est pas nécessairement de se rendre jusqu’aux Grands Lacs, mais d’être en mesure, par exemple, de répondre aux besoins, de déplacer des personnes clés dans un rayon de 200 km de Montréal.»
Le manque de relève chez des concessionnaires ouvre des fenêtres d’opportunité pour Globocam et son jeune président : « Il y a des investissements importants à faire», poursuit Maxime Boyer, pensant notamment aux énergies alternatives comme le gaz naturel ou l’électricité. La deuxième génération est aux commandes chez Globocam et nous avons une nouvelle équipe. Nous sommes en mesure de nous engager dans des investissements à long terme. »
Prévoyant que les camions électriques, comme le Ryzon de classe 5 qu’offre Globocam, vont prendre de plus en plus de place sur le marché, Maxime Boyer verrait très bien l’implantation d’un centre d’excellence pour la préparation des camions électriques à Cornwall.
L’entreprise a investi et continuera à investir dans ses installations de Cornwall, lesquelles offrent un grand potentiel de développement. Le bâtiment a cinq ans seulement et il est érigé sur un terrain de vingt acres, ce qui nous offre beaucoup de flexibilité pour des agrandissements.»




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